
C’est un livre sur la passion, aussi destructrice et flamboyante que tragique, comme un basculement irrésistible vers des forces obscures…
Une jeune professeure de français mène une vie sage et tranquille avec sa petite fille de quatre ans. En apparence, tout est parfait sous les eaux calmes. Mais la rencontre avec une autre femme, une femme vivante et libre, une femme volcanique aux yeux de serpent, va bousculer tous ses codes et la plonger dans une tourmente amoureuse aussi incontrôlable que dévastatrice.
Ce roman m’a fait l’effet d’une fuite en avant, une longue apnée, un trou noir dans lequel l’auteure essaie de nous emmener avec son héroïne. L’écriture est rapide et serrée, haletante, obsessionnelle, saccadée. Après quelques chapitres j’avais l’impression de lire du Marguerite Duras… et malheureusement c’est une grande auteure dont l’écriture me dérange, je ne suis jamais parvenue à m’y faire. C’est donc en reconnaissant tout le talent de Pauline Delabroy-Allard que je persiste dans mes affinités littéraires, et même si j’ai lu cet opus très rapidement (y avait-il moyen de faire autrement ?), je dois avouer que je ne l’ai pas « aimé ».
Mais ce n’est que mon avis 😉
Il m’a marqué ce roman… dommage que ça ait été un rendez-vous manqué de ton côté !
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